Voici une envie, plus qu'un fantasme même, qui inclu les billets précédents sur mon retour sur les cages de chasteté et mon fantasme d'être cocu. C'est quelque chose qui a tergiversé dans ma tête pendant bien deux ans avant que j'en parle à Madame, au travers d'une lettre : j'ai envie que Madame me domine, d'être son soumi. Avant de parler du pourquoi du comment, j'ai envie de préciser que nous n'avons encore pas vraiment eu de pratique dans ce sens (à part quelques allusions qu'elle a pu me faire), mais Madame a vraiment très bien accueilli cette confession et a été plutôt embalée. Lorsque ça arrivera, j'en parlerais sûrement ici. Au final, ce billet sera une sorte de condensé de la lettre que j'ai écrit à Madame.

La journée d'un soumi.

Alors bien sûr, tout ceci n'est que du fantasme. J'aimerais qu'une partie se réalise, ce qui arrivera sûrement, mais certaines chauses comme le candaulisme resterons de l'odre du fantasme pur et dur. Je pense.

Dans mon imaginaire, et je l'espère dans les jeux de rôle qui découlerons de tout ça, Madame est une femme volage, insatisfaite de son mari et qui n'hésite pas à aller voir ailleurs pour satisfaire ses besoins sexuels. Avec son mari, elle est dominatrice, authoritaire, sadique, voir castratrice. Elles raconte les actes de luxure qu'elle pratique avec autrui pour l'humilier. Je devrais toujours répondre par l'affirmative à ses demandes sinon gare à moi !

Le vocabulaire :

La psychologie est une partie importante de la sexualité. Tout autant que le vocabulaire employé. Concernant ma maîtresse, je devrais lui parler avec le plus grand des respect et la vénérer. "Maîtresse", "Madame", "Ma déesse", "Maman",  font parti des termes auquels j'aurais le droit. Mais pas un mot de travers !

Si je dois la traiter avec respect et égard, il n'en ira pas de même avec moi. J'ai envie d'être humilié verberlament. Mon personnage, incapable de la satisfaire car pas doué ou trop peu membré serait relégé au rang de jouet sexuel pour sa maîtresse, sur lequel elle pratiquerai ses idées et fantasmes pervers.

Les insultes :

Bien sûr les insultes. Grand classique s'il en est. Un petit florilège ? Allez, c'est cadeau ! Pervers, tafiole, tarlouze, tantouze, pédale, pédé, gay, sodomite, cochon, cocu, salope, pute, pouffiasse, traînée, enculé, chien / chienne... En la matière le choix est vaste !

Dénigrer mon sexe :

Pour Maîtresse, mon sexe serait d'une taille ridicule. Elle qui est habituée à s'habituer avec des chibres de taille respectable, comme pourrait-elle se satisfaire d'un si petit pénis ? Pour elle, ma petite bite serait si ridicule et inutile qu'elle la considérerai comme incapable de satisfaire quoi que ce soit : femmes, hommes et même animaux... Elle comparerait la taille de mon sexe à ses ex ou ses amants imaginaires. Je serais juste bon à me faire sodomiser et à enfermer cette petite queue, ce gros clitoris, dans une cage de chasteté.

"Tu vois, elle est minuscule. Qu'est-ce que tu veux que j'en fasse ?"

"Regarde comme il en a une petite !"

Me raconter ses aventures :

On y vient, au pourquoi du comment de mon article "Comment je fantasme d'être cocu" ! Comme décrit dans l'article, dans la réalité cette idée m'insupporte. Dans le fantasme et dans le cadre d'un jeu de rôle, cela me paraît excitant et humiliant. Maîtresse me menacerais d'aller voir d'autres hommes pour se satisfaire. Elle me raconterait ses aventures avec ses amants, plus virils et mieux dotés par la nature que moi. Elle me proposerait de coucher avec un vrai mec face à moi pour me donner une leçon intitulé "Comment faire l'amour à une femme quand on a une vraie bite".

Bien sûr, j'aurais tous les détails de ses partouzes auxquelles elle participerait pour satisfaire son appétit sexuel. Elle me raconterait comme elle se ferait prendre par des noirs et leurs énormes sexe, par tous les orifices, seuls moyens de compenser ma petite bite de blanc bien insuffisante.

Bien sûr j'aurais le droit d'avoir quelques rapports avec elle si je suis bien sage et obéissant, mais seuls ses amants auraient le droit de jouir en elle. Pour moi, ce serait capote et ma Maîtresse ne prendrait pas plus de plaisir que ça, avec son vagin distendu par ses imposants partenaires.

Maîtresse aurait aussi son lot de plaisirs saphiques. Quitte à vivre pleinement sa sexualité, autant en profiter avec le corps voluptueux d'une femme.

"C'est tellement bon quand c'est lui, regarde !"

"Regarde soumis, ça c'est une vraie bite."

"Chéri, je vais passer la soirée avec un copain... "

"Ou des copains."

"Oh, ma soirée s'est bien passée."

"Une soirée tranquille, tu veux que je te raconte ?"

"J'avais l'impression de tenir Excalibur."

L'homosexualité :

Comme je ne suis qu'une fiotte, Maîtresse me menacerai de me mettre à disposition de ses amants imaginaires ayant des tendances bi. J'aurais l'obligation de les sucer et de me faire baiser. Gare à moi si je râle ou si je ne les satisfait pas.

Elle me traiterais de gay en me disant que, finalement, si je ne suis pas digne d'une femme aussi parfaite c'est peut-être que je suis attiré par les hommes et leurs bites ? Elle insiterait sur le fait que j'aime les grosses queues bien dures, les sucer et me faire sodomiser. D'après elle je suis avec uniquement pour l'image en société. Après tout, si je suis excité par le porno gay et que je me suis de nombreuses fois branlé dessus, c'est qu'il y a une raison.

"Tu as vu comme il suce ta queue ? C'est qu'il aime ça ce gros PD !"

"Vas y, suce son gros manche, petit fiotte."

"Fais moi plaisir, offre lui cul. Un trou est un trou !"

La zoophilie :

Etant bien incapable de satisfaire ma mâitresse, elle me raconterais qu'elle a dans l'idée de s'essayer aux relations sexuelles avec des animaux. Coucher avec un chien ou un cheval et son énorme sexe serait toujours plus satisfaisant que moi.

Et comme je suis juste bon à être enculé, elle menacerait de me faire m'accoupler avec un chien, un cheval ou un cochon. Entre animaux...

La scatophilie :

Maîtresse rappellerait à mes bons souvenirs mes jeux scatophiles solitaires, et puis-ce que j'aime ça elle me menacerait de me chier dessus ou dans la bouche.

Pratiques physiques :

L'anal :

Connaissant mon attrait pour le plaisir anal, Maîtresse aurait pour but de transformer mon cul en une chatte béante. Me doigter, m'enculer avec un gode ceinture, me fister ou encore jouer avec ma prostate jusqu'à l'éjaculation.

Avec le gode ceinture, Maîtresse se transformerait en homme macho. Elle me forcerait à le sucer, frotter sa queue contre la mienne et m'enculer comme un PD ou une femme soumise qui a besoin de se faire baiser.

"Je continuerai à te traite jusqu'à ce que tu jute. Après, je t'enculerai."

"Huuum... Tu aimes ça te faire enculer, hein ?"

"Respire, ça va rentrer."

"Jusqu'au fond !"

"Tu vois, pas besoin de ta bite."

"Tu aimes te prendre ma grosse queue, hein ? Sale gay."

'Comment ça, c'est trop ?"

"Une bite de cheval, c'est parfait pour un petit zoophile comme toi."

La chasteté, le contrôle et le déni d'orgasmes :

J'aime être dans des cages de chasteté. Être frustré, ne pas pouvoir bander... C'est très excitant. Ainsi Maîtresse aurait le contrôle total de mon sexe. Ansi elle choisirait quand me libérer, quand me laisser bander, quand me laisser éjaculer... Ou pas !

Et lorsque j'aurais la chance de pouvoir éjaculer, pas question d'avoir un orgasme trop intense ! Au moment d'éjaculer, nous arreterions toute stimulation pour juste gicler sans jouir. Je connais déjà cete sensation (volontaire seule ou par accident à deux) et je l'adore en la détestant.

"Tu jouiras quand je te le dirais."

"Tu aimes ça, les gâteries hein ? Pourtant ça n'est pas pour les pédales à petite queue comme toi !"

"La vue te plait ? Pas touche !"	"Hum, ta cage est si dure..."
"Qui es ta déesse ?"	"C'est confortable ? J'espère, parce que tu en as pour un moment !"

"Même plus besoin de ton pathétique micro pénis !"

Le sexe oral forcé :

Je serais le fauteuil de ma Maîtresse. Elle s'a s'asseyerait sur moi afin de bloquermon visage contre sa chatte on son cul. Elle froterait son intimité sur mon visage et gare à moi si je ne lèche pas !

"Mange !"	"Lèche !"
"Respirer ? Pourquoi ?"	"Tu es le meilleur siège du monde !"

Les liens et la douleur :

Qui dit relations SM, dit contraintes physiques. J'aimerais être attaché, bâilloné (avec un baillon ou une culotte), les yeux bandés afin de subir diverses sévices.

Bien sûr pour m'humilier, les sévices corporels seront de mise. Fessée, claques, fouet, torture, morsures et j'en passe. Maîtresse me ferait mal aux mamelons et au sexe en claquant, serrant, griffant, fouettant. Mais pas trop fort quand même, c'est un jeu !

Et pourquoi pas la cire ou les orties ?

"Tu aimes que je te frappe les couilles pendant que tu gicle ? Non ? Tant mieux !"

"Tes couilles sont toutes molles !"

"Et si je te castrais ? De toutes façons ton attirait est inutile."

"Je vais te laisser ma marque !"

"J'aime le bruit, quand ça claque sur tes couilles !"

"Pour l'instant tu reste comme ça, je verrais ce que je ferais de toi plus tard."

Le travestissement :

Comme toute bonne tafiolle je devrais porter de la lingerie féminine. Même si je n'ai pas vraiment un corps taillé pour, j'aime ça et ça m'excite. Maîtresse me ferait ainsi poter des vêtements féminins, pourqui pas me maquiller et me coiffer pour qu'elle devienne un homme macho et me traîter comme une moins que rien.

Tenter une sortie ainsi vêtu en extérieur me plairait bien, dans un endroit isolé cela va de sois.

"Tu aimes être habillté comme une pute ? Ça t'excite, hein ? Espèce de taffiole !"

"Tu n'es qu'un gros pervers dégueulasse pour oser te travestir comme ça."

"Je vais t'envoyer tapiner, sale pute."

"Montre moi comment tu te masturbe comme une fille."

"Montre à maman comme tu es bien préparé."

"Te voila bien apprêté !"

La servitude :

Tout bon soumis se doit de servir sa Maîtresse. Je ferais ce qu'elle me demandera, comme les tâches ménagères ou lui servir quelque chose. Et je n'aurais pas intérêt à me plaindre sinon je serais punni. Je serais vêti à sa guise : nu, travesti, baîllioné, encagé, avec un plug...

Les désirs de Maîtresse auront une importance tout particulière. Quoiqu'elle demandera, je le ferais. Lui servir quelque chose, lui faire quelque chose de sexuel, me prosterner devant la Déesse qu'elle est, me donner en spectacle sexuel (masturbation, sodomie... ) devant elle. Tout sera un honneur.

"C'est toi la femme, fais les corvées."

La salive :

Quoi de plus dégradant que de se faire baver ou cracher dessus, sur le visage, dans la bouche, le corps ou le sexe... L'idée de me faire cracher dessus et giffler me fais bander bien dur.

Boire mon sperme :

Si Maîtresse me laisse le privilège d'éjaculer, il ne faudrait pas gâcer le sperme ! Me faire m'éjaculer dessus, lécher sa chatte remplie ou le boire au verre serait un excellent recyclage. Malgré tout il faudrait que je combatte la phase réfractaire. J'ai toujours eu beaucoup de mal à goûter mon foutre une fois l'excitation retombée.

Le chien :

Avec un collier et une laisse, je serais le gentil chien fidèle à sa Maîtresse. Assi, couché, faire le beau, japper, boire et manger dans une écuelle, j'obéirai à tout. J'attendrais derrière la porte le retoure de ma Maîtresse pour l'accueillir. Je lui lécherai la chette et le cul à l'envie et, si d'aventure je ne suis pas sage, elle me punira à coup de fouet et de sodomie.

Pour faire mes besoins il faudra me sortir, nu, dans un bois isolé à la nuit tombée. J'y ferais ma petit et peut-être ma grosse commission. Si je suis un méchant chien, Maôtresse m'attachera à un arbre et me fouettera avec un fouet, une branche ou même des orties.

"C'est un bon chien-chien ça."

"Fais "wouf" !"

"Bon chien ! Nettoie bien le cul de maman !"

"Et que ça brille !"

L'urophilie :

Alors, j'adore l'urophilie. Madame le sait. Je n'ai aucun problème avec les mictions urinaires. Malheureusement nous ne sommes encore jamais passé à l'acte. De tels jeux sexuels seraient l'occasion idéale de la pratiquer. Maîtresse pourrait s'asseoir sur mon visage sans s'être essuyé après avoir fait pipi, m'uriner dessu, me faire boire sa pisse à la source ou dans un verre.

Ce délicieux nectar pourrait être vu comme une récomponse car elle m'offrirais quelque chose qui vient d'elle, ou alors comme une punition. Maîtresse pourrait m'ordonner de me pisser dessus ou de boire ma porpre urine au verre.

Comme je l'ai déjà essayé seul, elle pourrait me servir des cocktails d'urine. Un peu de pisse mélangé à un thé, une infusion ou une bière, c'est déliecieux.

"Ouvre la bouche !"

"C'est l'heure de la douche !"

"Tu me boiras ça cul-sec !"

"C'est bien, avale l'offrance de ta déesse !"

"Dépèche toi, j'ai besoin de pisser tout de suite !"

Les couches :

Je n'en ai jamais parlé ici, et il faudrait que je le fasse, mais le port des couches et un truc qui me titille depuis un moment. J'aimerais, hors jeux SM, les essayer pour l'expérience. Un genre de trip régessif, juste pour voir. Après tout nous étions soit trop jeune pour nous en rappeller, soit nous serons trop vieux et décastis pour capter...

Les couches permettraient à l'un comme l'autre de ne pas avoir à cesser nos jeux obsènes, tant qu'ils n'incluent pas les parties géniales, et de continuer sans avoir à aller aux toilettes. De plus cela pourrrait donner de belles suites à l'urophilie. Voici comme je vois le truc :

• Je porte une couche : je me laisse aller pendant que Maîtresse oeuvre de ses talents pervers sur moi. Pour me punir, elle me met la tête dans la couche et me force à lécher ce linge souillé.
• Maîtresse porte une couche : Idem, elle se laisse aller en continuant ses sévices. Pour m'humilier, elle metrait mon visage dans la couche pour me forcer à la lécher.

Dans ces pratiques, je n'incule pas la scatophilie. Trop compliqué, pas hygiénique, et même seul l'odeur m'a toujours dérangé.

"Esclave, ma couche est pleine. Vient m'essuyer avec ta langue et la nettoyer."

Finition :

Voici pèle mèle des idées que j'ai eu ou lues et qui me tenteraient bien. Ce ne sont que des propositions. Si Madame est intéressée par l'une ou l'autre des pratiques, soit. D'ailleurs il y a encore d'autres idées dans notre librairie érotique. Il nous manquerais des accessoires (gode ceinture de qualité, cage de chasteté correcte, couches... ) mais avant d'investir, il faudrait déjà mettre en place une partie de ce jeu de rôle.

Mais pourquoi j'ai envie de ça ? Bonne question. En fait, j'ai toujours été dominant au lit et Madame dans la vie. Aujoutd'hui j'ai envie de cette tendance se répercute aussi dans la chambre à coucher. Inverser les rôles. Bien sûr, je ne veux pas en faire un style de vie, le FLD (Female Led Relationship, relations dirigées par la femme) des anglophones ne m'intéresse pas car nous somme un couple et nous prenons les décisions de concert. Juste des jeux de rôles occasionnels, plus ou moins longs.

Madame semblait assez intéressée. Elle a une imagination débordante et adore les jeux de rôles. Et puis, elle est parfois un peu sadique .