Journal d'un pervers dilettante

Parmi mes habitudes sexuelles j'avais, jusqu'à présent et en dehors du sexe "vanille" : du masochisme léger, l'urophilie et le plaisir anal. Et depuis que j'ai recommencé la scatophilie je ne demande qu'une chose : encore ! Donc aujourd'hui, j'ai remis le couvert avec un plaisir non dissimulé.

Je vais la faire plus rapide que l'autre jour. Je me suis branlé sans éjaculer ce matin, j'ai vaqué à mes occupations et en début d'après-midi je me suis pluggé. Quand j'ai senti l'envie poindre, j'ai disposé une bâche dans la salle de bain, mis du lubrifiant dans une soucoupe, pour ne pas avoir à toucher la bouteille de lubrifiant avec des doigts souillés, et j'ai disposé un gode et du papier toilettes à proximité.

Je me suis accroupi et j'ai commencé à pousser. De petits colombins tous fins, un peu mous, sont sortis de mon cul. Je me suis doigté pour continuer à sortir des crottes de mon fion et je me les suis étalés sur le cul. J'en ai aussi étalés sur mon gode, préalablement lubrifié, pour me l'enfoncer sans difficultés.

Je me suis ainsi sodomisé avec cette bite factice, lubrifiée à la merde pendant un bon moment. De ma bite perlait une important quantité de liquide séminal. J'ai donc retiré le gode et j'ai commencé à me doigter le cul, pour stimuler ma prostate, aussi violemment que si je doigtais une chatte en plein sur le point G. Et là, ma bite toute flaccide a commencé à gicler une important quantité d'épais foutre. J'avais un orgasme anal, sûrement un des plus intenses qu'il m'ait été donné d'avoir. Ombre sur le tableau, du sang a un peu coulé de mon anus. J'y suis peut-être allé trop sur les muqueuses...

Rangement de la bâche, nettoyage au PQ et une douche plus tard je suis toujours excité. Je me demande si je ne vais pas recommencer à jouer avec mon gros cul tout à l'heure. Toujours est-il que j'ai l'impression que conjuguer plaisir anal et scatophilie à un gros avantage : celui de ne pas se poser la question du contenu du colon. Cela rajoute une barrière en moins à la pratique du plaisir anal.

Pour résumer j'ai eu un orgasme anal, j'ai giclé et j'ai pris un pied fou. Seule déception était la quantité de merde un peu trop faible à mon goût. Mais vu la crotte que j'avais sorti le matin même, pas étonnant qu'il n'y ait pas eu grand-chose.

 Pour ce nouveau billet je vais raconter une expérience solitaire en date de l'été dernier.

J'étais de passage pour une courte de nuit dans un hôtel. En prenant ma douche, j'ai été pris de fortes envies. N'ayant rien fait depuis plusieurs jours ce n'était gère étonnant. J'ai craqué. J'ai commencé à me branler sous la douche et je me suis pissé dessus. J'ai étalé ce doux nectar sur moi, je l'ai goûté, j'ai branlé ma bite lubrifiée à l'urine et je me suis doigté le cul avec. C'était délicieux. Seulement, cela ne me suffisait pas, j'ai envie de plus, j'avais besoin de plus.

C'est tellement bon de se pisser dessus !

Je me suis accroupi dans la douche et j'ai commencé à pousser, ma main sous mon anus prête à recueillir ce qui allait en sortir. J'avais beau pousser, rien ne sortait. J'ai donc enfoncé deux doigts dans mon cul pour aller y déloger l'objet de mon désir qui y était coincé : ma merde. Après avoir tripoté les excréments dans mon cul et avoir attiré quelques crottes vers la sortie, c'est un énorme colombin qui s'est échappé de mon fion. Il était bien gros et assez dur. J'ai pris un énorme plaisir à le sortir, comme si une grosse bite était sortie de mon cul. Un long fil de liquide séminal coulait le long de mon sexe.

Cette merde, j'en ai étalé sur mes fesses et je me suis doigté avec. C'était chaud, à la fois dur et mou un peu comme du chocolat qui fond, et surtout agréable au toucher. J'en ai aussi étalé un peu sur mes cuisses, mon ventre et mon torse. J'ai aussi reniflé cet étron qui était dans ma main. L'odeur n’était certes pas des plus appétissante mais vu l'état dans lequel j'étais, cela ne pouvait que m'exciter. 

Je n'aurais jamais pensé que se doigter avec excréments pouvait être aussi bon !

Je ne m'en suis pas autant badigeonné mais c'était aussi très agréable et chaud.

Je me suis regardé dans le miroir. Me voir ainsi avec une grosse crotte dans la main et de la merde sur le corps me plaisait. Je me sentais sale, cochon, très pervers. J'adorais ça ! Ma bite était bien raide alors que je ne l'avais pas touchée depuis que je m'étais pissé dessus.

J'étais arrivé à un point de non-retour. Vu l'état dans lequel j'étais il fallait que je le fasse, il fallait que je goûte cette merde que, je dois bien l'avouer, trouvais belle. J'ai donc léché l'étron et pris un petit morceau dans ma bouche. C'était assez visqueux et chaud. Le goût n'était pas désagréable, juste très fade.

Le goût n'était pas non plus si horrible que ça.

Miam miam miam !

J'ai posé l'excrément dans les toilettes, je me suis essuyé le corps avec du papier toilette, j'ai nettoyé les parties de mon corps ayant été en contact avec la merde avec du gel hydro-alcoolique, je me suis bien rincé la bouche, brossé les dents et j'ai pris une longue douche. Longue douche durant laquelle je me suis branlé et j'ai éjaculé une bonne dose de sperme et eu un énorme orgasme.

Le soulagement post-éjaculatoire.

Voilà, c'était ma dernière expérience scato. Que de chemin parcouru depuis la première fois ! Depuis je n'ai plus rien fait du genre, mais j'espère bien réessayer que ce soit seul ou peut-être devant ou avec mademoiselle.

Quelques images pour le plaisir :

Une petit diarrhée.	J'aimerais que Mademoiselle me chie sur le ventre comme ça.
Caca dans la bouche.	Un collant bien plein !

Deux copines et du caca.

Un petit plaisir solitaire.

Lors de mes billets sur le hentai et la scatophilie et sur la scatophilie j'avais dit ne pas être intéressé par la pratique mais seulement par le visuel. Extrait du second article :

De là pratiquer la scatophilie il y a un pas que je ne franchirais pas (encore ?).

Pas encore, c'est le mot... Après quelques menues période d'excitation visuelle j'ai eu envie d'essayer quelque chose, quelque chose que je vais vous narrer ici.

Lors d'une soirée bien trop solitaire à mon goût, je vaquais à mes occupations et puis j'ai eu des envies. J'ai commencé à me branler devant l'ordinateur sur du porno relativement classique puis j'ai eu envie de pratiquer l'urophilie car cela faisait plusieurs mois. J'ai donc continué à me branler jusqu'à avoir envie de d'uriner.

Je suis donc allé me pisser dessus dans la douche, j'y ai pris énormément de plaisir. J'avais oublié à quel point ça pouvait être jouissif et à quel point j'adore ça. Et puis je me suis dit pourquoi ne pas pousser le bouchon un poil plus loin ? Je suis allé chercher des gants en latex qui me restaient et une boite en plastique jetable car les excréments sont loin d'être hygiéniques et je n'ai rien pour stériliser.

Une fois ganté (si si, ça existe) je me suis accroupi dans la douche et j'ai commencé à pousser. Un étron a commencé à sortir de mon anus. J'ai mis ma main en dessous pour le ramasser. A mon grand étonnement j'ai pris énormément de plaisir. Je savais déjà que je prenais un peu de plaisir aux toilettes mais là c'était encore plus intense. Je sentais cette merde se faufiler le long de mon trou et me donner un plaisir proche de la sodomie. De ma bite coulait un long filet de liquide séminal en disant long sur le pied que je prenais.

Une soubrette qui chie dans sa main.

Je sentais cette merde chaude et relativement dure atterrir dans main. Une fois terminé je l'ai un peu tripoté, n'ayant jamais touché d'excrément, puis je me suis arrêté là. J'ai mis l'étron dans la boite, jeté dans les toilettes, m'essuyer puis jeter les gants et la boite - étonnements propres, aucune trace - à la poubelle. Point d'étalage de merde comme on peut le voir sur Internet, je ne suis pas vraiment tenté par ça (pour l'instant). J'ai été prendre une douche bien méritée puis j'ai fini de me masturber devant une vidéo porno.

Je ne suis pas encore au point de toucher mes selles mains nues.

Qu'est-ce que je retire de cette expérience ? J'ai vraiment adoré ! J'ai non seulement pris du plaisir par la voie anale mais aussi par l'excitation de transgresser un interdit, encore plus gros que l'urophilie. A mon grand étonnement il n'y a pas eu d'odeurs nausaébondes et c'est tant mieux. De plus je pensais ressentir une honte, comme après la première fois que j'ai pratiqué l'urophilie, mais finalement non, j'allais parfaitement bien. Je suis même content d'avoir tenté cette expérience.

Ça sort !

Une expérience plutôt positive mais de la m'en étaler sur le corps, non. Mais en l'état ça m'a bien plu :).