Scatophilie

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Mardi 7 janvier 2025 2 07 /01 /Jan /2025 20:39

Random 19 - Scato

Cet été, j'ai eu une petite période scato. Sans malheureusement avoir pu pratiquer, j'ai collecté quelques superbes photos.

La plus belle photo scato qui soit.

Celle-ci n'est pas en reste... Un si joli cul dans la nature.

Elle se lâche dans un verre.

Un bien beau cul qui lâche de bien belles merdes.

Un étron de bien belle longueur !

Quelles jolies fesses !

Là aussi c'est bien long !

Elle a bien fait de ne pas se retenir.

Ça n'a pas l'air simple à sortir...

Quelle belle vue !

Une bien jolie cochonne.

Joli morceau.

Ça doit faire du bien.

Un beau boudin.

Accident ? Ou pas.

Un bien agréable lubrifiant.

Accident de sodomie... Ou pas.

Une sacrée chiasse !

Une belle tartine de merde.

Une assiette bien garnie.

Une bien belle merde !

Oups !

Elle n'arrive plus à arrêter de s'enculer avec sa merde.

Par Bandobras - Publié dans : Scatophilie
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Vendredi 26 août 2022 5 26 /08 /Août /2022 14:58

Scatophilie : une nouvelle habitude ?

Parmi mes habitudes sexuelles j'avais, jusqu'à présent et en dehors du sexe "vanille" : du masochisme léger, l'urophilie et le plaisir anal. Et depuis que j'ai recommencé la scatophilie je ne demande qu'une chose : encore ! Donc aujourd'hui, j'ai remis le couvert avec un plaisir non dissimulé.

Je vais la faire plus rapide que l'autre jour. Je me suis branlé sans éjaculer ce matin, j'ai vaqué à mes occupations et en début d'après-midi je me suis pluggé. Quand j'ai senti l'envie poindre, j'ai disposé une bâche dans la salle de bain, mis du lubrifiant dans une soucoupe, pour ne pas avoir à toucher la bouteille de lubrifiant avec des doigts souillés, et j'ai disposé un gode et du papier toilettes à proximité.

Je me suis accroupi et j'ai commencé à pousser. De petits colombins tous fins, un peu mous, sont sortis de mon cul. Je me suis doigté pour continuer à sortir des crottes de mon fion et je me les suis étalés sur le cul. J'en ai aussi étalés sur mon gode, préalablement lubrifié, pour me l'enfoncer sans difficultés.

Je me suis ainsi sodomisé avec cette bite factice, lubrifiée à la merde pendant un bon moment. De ma bite perlait une important quantité de liquide séminal. J'ai donc retiré le gode et j'ai commencé à me doigter le cul, pour stimuler ma prostate, aussi violemment que si je doigtais une chatte en plein sur le point G. Et là, ma bite toute flaccide a commencé à gicler une important quantité d'épais foutre. J'avais un orgasme anal, sûrement un des plus intenses qu'il m'ait été donné d'avoir. Ombre sur le tableau, du sang a un peu coulé de mon anus. J'y suis peut-être allé trop sur les muqueuses...

Rangement de la bâche, nettoyage au PQ et une douche plus tard je suis toujours excité. Je me demande si je ne vais pas recommencer à jouer avec mon gros cul tout à l'heure. Toujours est-il que j'ai l'impression que conjuguer plaisir anal et scatophilie à un gros avantage : celui de ne pas se poser la question du contenu du colon. Cela rajoute une barrière en moins à la pratique du plaisir anal.

Pour résumer j'ai eu un orgasme anal, j'ai giclé et j'ai pris un pied fou. Seule déception était la quantité de merde un peu trop faible à mon goût. Mais vu la crotte que j'avais sorti le matin même, pas étonnant qu'il n'y ait pas eu grand-chose.

Par Bandobras - Publié dans : Scatophilie
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Mardi 23 août 2022 2 23 /08 /Août /2022 16:47

Le retour de la scatophilie

Cela faisait longtemps que la pratique de la scatophilie ne m'avait pas traversé l'esprit. Et l'autre jour, lors d'une insomnie dans ma tente lors d'un festival j'y ai pensé. J'ai longuement fantasmé sur la scatophilie en me branlant et en jouant avec mes mamelons. Avec quelque jour de recul, je pense que c'est à cause d'une énorme merde que j'ai fait dans les toilettes sèches du camping. Un vrai anaconda, une longue crotte interminable qui n'en finissait pas de sortir et de me donner du plaisir. Et quand j'ai vu ce magnifique étron sur le tas de papier toilettes et de sciure une part de moi a eu envie de jouer avec... Et puis j'ai fantasmé sur le fait de lécher le cul de Madame après qu'elle sera allée aux toilettes, et puis de le lui lécher pendant qu'elle va à la selle. En rentrant, je lui en ai parlé et à ma grande surprise elle était d'accord pour essayer cela. Mais ce n'est pas le sujet de ce billet.

Aujourd'hui, je ne travaillais pas et j'ai été en rut toute la journée. Ce matin j'ai commencé par jouer avec mes mamelons et des pompes à seins pour les aspirer. J'y allais petit à petit. J'aspirais et dès que la douleur était trop lancinante j'arrêtais avant de recommencer une fois habitué à cette douce souffrance. J'adore avoir mal aux mamelons.

En me levant, j'avais besoin d'uriner. J'ai donc tout naturellement pissé dans une pinte de bière, et je l'ai remplie à pile 50 cl. Ma pisse ressemblait à une bière blanche avec un joli faux col de mousse sur le dessus. Je me suis empressé de boire la moitié de ce doux liquide chaud. C'était absolument délicieux. Ensuite est venu le temps de me lever pour faire les courses. Au lieu d'un classique boxer, j'ai enfilé un tanga et un soutient gorge noir. J'ai adoré me balader au milieu des gens ainsi travestis en secret...

Une fois rentré, j'ai vaqué à mes occupations et à mes corvées. Une fois libéré de mes obligations, J'ai commencé à mastiquer devant l'ordinateur. D'abord sur des films de pornos avec des transsexuelles, puis j'ai dérivé vers des films scatophiles. J'ai fini par me doigter l'anus en les regardant. J'ai donc été me mettre un plug pour me dilater avant de jouer avec mes godes.

Sauf que tout ne s'est pas passé comme prévu. Au moment de retirer le plug, j'ai eu envie d'uriner. Je me suis dit que chouette, un autre verre de pisse ça me disait bien. Sauf qu'au moment de pisser, j'ai senti que cela poussait contre mon plug. Je me suis donc accroupi dans la douche, j'ai placé un petit récipient de plat préparé sous mes fesses et j'ai retiré le plug. Il était couvert de merde. Je me suis donc doigté et j'ai sorti un étron mou et mousseux est sorti de mon cul. Mes doigts étaient couverts de fèces et je n'ai pas pu m'empêcher de les lécher. Étonnamment cela avait assez peu de goût. J'ai posé la crotte dans la boîte et j'ai continué à me doigter pour faire sortir encore plus de merde de mon trou de balle. C'était doux, chaud et j'aimais la forte odeur qui s'en dégageait. De mon pénis coulait un abondant fil de liquide séminal. Dû sûrement tant à l'excitation de la situation qu'à la stimulation de la protate que je réalisais en allant chercher les excréments.

J'ai étalé de la merde sur mon trou et sur mes fesses. C'était une chaude, odorante et agréable pommade. Mais il me fallait quelque chose de plus. Je me suis donc saisi d'un plug, un peu plus gros, et je me le suis ainsi enfoncé en utilisant mes déjections comme lubrifiant. J'ai continué à jouer ainsi avec mon caca pendant plusieurs minutes. C'était génial, incroyable. En retirant le plug couvert de déjections je n'ai pu m'empêcher de le lécher. J'en voulais plus mais malheureusement plus rien ne sortait de mon trou à merde. J'étais déçu. J'ai continué de me doigter le cul plein de merde comme cela pendant un moment, accroupi dans la douche.

Et puis est venu le moment du nettoyage... J'ai essayé comme j'ai pu mes doigts dans le récipient, je me suis soigneusement lavé les mains avant d'aller chercher du papier toilette pour essayer le plug et le nettoyer avec du savon puis de désinfectant pour sex-toys. J'ai vidé le plat dans les toilettes, je l'ai essuyé et nettoyé et puis j'ai été prendre une longue douche durant laquelle je me suis allègrement pissé dessus.

Voilà donc le récit d'une expérience que je n'avais pas pratiquée depuis longtemps, et autant dire que j'ai extrêmement hâte de réitérer tout ça.

Par Bandobras - Publié dans : Scatophilie
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Mardi 10 juin 2014 2 10 /06 /Juin /2014 20:27

Scatophilie à l'hôtel

Pour ce nouveau billet je vais raconter une expérience solitaire en date de l'été dernier.

J'étais de passage pour une courte de nuit dans un hôtel. En prenant ma douche, j'ai été pris de fortes envies. N'ayant rien fait depuis plusieurs jours ce n'était gère étonnant. J'ai craqué. J'ai commencé à me branler sous la douche et je me suis pissé dessus. J'ai étalé ce doux nectar sur moi, je l'ai goûté, j'ai branlé ma bite lubrifiée à l'urine et je me suis doigté le cul avec. C'était délicieux. Seulement, cela ne me suffisait pas, j'ai envie de plus, j'avais besoin de plus.

C'est tellement bon de se pisser dessus !

Je me suis accroupi dans la douche et j'ai commencé à pousser, ma main sous mon anus prête à recueillir ce qui allait en sortir. J'avais beau pousser, rien ne sortait. J'ai donc enfoncé deux doigts dans mon cul pour aller y déloger l'objet de mon désir qui y était coincé : ma merde. Après avoir tripoté les excréments dans mon cul et avoir attiré quelques crottes vers la sortie, c'est un énorme colombin qui s'est échappé de mon fion. Il était bien gros et assez dur. J'ai pris un énorme plaisir à le sortir, comme si une grosse bite était sortie de mon cul. Un long fil de liquide séminal coulait le long de mon sexe.

Sentir une bonne grosse merde

sortir de son cul.

Un long et gros caca, elle doit manger

plein de fibres !

Cette merde, j'en ai étalé sur mes fesses et je me suis doigté avec. C'était chaud, à la fois dur et mou un peu comme du chocolat qui fond, et surtout agréable au toucher. J'en ai aussi étalé un peu sur mes cuisses, mon ventre et mon torse. J'ai aussi reniflé cet étron qui était dans ma main. L'odeur n’était certes pas des plus appétissante mais vu l'état dans lequel j'étais, cela ne pouvait que m'exciter.

Je n'aurais jamais pensé que se doigter avec excréments pouvait être aussi bon !

Je ne m'en suis pas autant badigeonné mais c'était aussi très agréable et chaud.

Je me suis regardé dans le miroir. Me voir ainsi avec une grosse crotte dans la main et de la merde sur le corps me plaisait. Je me sentais sale, cochon, très pervers. J'adorais ça ! Ma bite était bien raide alors que je ne l'avais pas touchée depuis que je m'étais pissé dessus.

J'étais arrivé à un point de non-retour. Vu l'état dans lequel j'étais il fallait que je le fasse, il fallait que je goûte cette merde que, je dois bien l'avouer, trouvais belle. J'ai donc léché l'étron et pris un petit morceau dans ma bouche. C'était assez visqueux et chaud. Le goût n'était pas désagréable, juste très fade.

Le goût n'était pas non plus si horrible que ça.

Miam miam miam !

J'ai posé l'excrément dans les toilettes, je me suis essuyé le corps avec du papier toilette, j'ai nettoyé les parties de mon corps ayant été en contact avec la merde avec du gel hydro-alcoolique, je me suis bien rincé la bouche, brossé les dents et j'ai pris une longue douche. Longue douche durant laquelle je me suis branlé et j'ai éjaculé une bonne dose de sperme et eu un énorme orgasme.

Le soulagement post-éjaculatoire.

Voilà, c'était ma dernière expérience scato. Que de chemin parcouru depuis la première fois ! Depuis je n'ai plus rien fait du genre, mais j'espère bien réessayer que ce soit seul ou peut-être devant ou avec mademoiselle.

Quelques images pour le plaisir :

Une petit diarrhée.

J'aimerais que Mademoiselle me

chie sur le ventre comme ça.

Caca dans la bouche.

Un collant bien plein !

Deux copines et du caca.

Un petit plaisir solitaire.

Par Bandobras - Publié dans : Scatophilie
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Vendredi 4 avril 2014 5 04 /04 /Avr /2014 11:12

L'émétophilie

Je vais encore parler d'une pratique sexuelle un peu dégueulasse, mais cette fois ci je ne la pratique pas et je n'en ai pas du tout l'intention ! L'émétophilie, ou douche romaine, est l'excitation due à la vue ou à la pratique du vomit. Charmant n'est-ce pas ? J'ai découvert cette pratique, comme beaucoup, via la célébrissime vidéo 2 girl 1 cup. Mais c'est dans des films pornos Japonais (étonant, non ?) que j'ai pu voir cette pratique dans toute sa "splendeur".

*Blurrrp !*	Bweearg !
Bondage, nose hook, vomit... JAPON !	Au moins dans la baigneoire c'est plus propre.

Dans la pornographie Japonaise ce sont souvent deux femmes qui se vomissent en coeur dessus. Dans la pornographie occidentale on va plus retrouver cette pratique dans les fellations forcées ou la fille en vient à vomir tellement elle se fait assaillir la glotte par des coups de bite. Même si dans certains films scato, on voit les partenaires se vomir allègrement dessus. Ou alors beaucoup de production Bréziliennes, allez savoir pourquoi...

Gweeearrg !

Blurp, bloarg !

Splouuuarrg !

Cette pratique m'excite comme elle me révulse. Je mentirais si je disais que je ne me suis jamais masturbé devant ces vidéos où deux jolies Japonaises se vomissent dessus en s'embrassant puis se frottent l'une contre l'autre dans leur gerbe. Je pense que c'est l'acte de soumission et l'érotisation par l'image (jolies jeunes femmes, lingerie... ) qui m'excite. Et puis l'interdit, le "c'est dégueulasse". Donc oui, je me suis déjà branlé et j'ai déjà éjaculé devant des vidéo émétophiles. C'est dit !

Sur le principe bof, mais sentir un truc chaud
et visqueux sur sa queue, ça doit être agréable.

"T'inquiète, c'est bon pour la peau !"

Tribadisme vomitif.

Mais cette pratique me révulse car rien que l'idée de vomir me débecte. C'est tellement désagréable lors d'une gastro de sentir la bile bruler l'oeusophage... D'un côté je peux comprendre le certain plaisir de recevoir un liquide chaud et visqueux sur le corps.

BLLLOOOURP !

Slllouuuirp !

BLORP !

Minute culture : l'expression douche romaine vient des orgies que les Romains pratiquaient pendant l'antiquité, durant lesquelles ils se faisaient vomir pour pouvoir continuer à manger.