Comme je l'ai déjà (trop) dit, j'aime la masturbation anale. Du coup, de ma petite expérience je vais y aller de mes petits conseil pour une bonne pratique de la sodomie. Qu'elle soit solitaire ou en couple :

Cet article sera sujet à mises à jour.

1. Gérer ses selles

Oui, forcément ça va parler un peu de caca. Personnellement je ne pratique pas (encore ?) le lavement. D'après ce que j'ai pu lire, ce n'est pas forcément bon pour les muqueuses de l'intestin d'ailleurs.Pour ma part je n'ai jamais trop embêté et le fait que j'ai eu pratiqué la scatophilie m'a enlevé certaines inhibitions de ce côté-là.

Il faut savoir que le colon est propre. C'est à dire que si vous n'avez pas besoin d'aller à la selle il n'est pas censé rester de matières fécales dans le bas colon, ou très peu. Avec une alimentation équilibrée et les selles régulières qui, en général, vont avec, il est possible de planifier et prévoir quand le derrière sera disponible.

2. Prendre une douche

Prendre une douche avant toute pratique rectale est une bonne idée pour deux choses :

• L'hygiène. Se laver dans au niveau de l'anus est forcément une bonne idée. Même si avec une excellente hygiène, on n'est jamais trop propre à cet endroit. Surtout en cas de rapport buccal.
• Ça détend. J'ai remarqué d'après une douche, j'étais beaucoup plus détendu en général et dans la zone anale. Qui dit plus détendu dit pénétration plus aisée.

3. Prendre le temps

On n'est pas là pour faire la course mais pour prendre du plaisir. Il faut donc prendre son temps. Beaucoup. Plus vous prendrez votre temps, plus vous serez détendu et mieux cela se passera.

4. Lubrifier

Dans la pratique de la sodomie, il y a un mot de clef : lubrifier. Lubrifier. Encore. Toujours. Plus. Trop ce n'est pas encore assez.

Contrairement au vagin, je pense que vous n'êtes pas sans savoir que l'anus ne se lubrifie pas, et heureusement quelque part. Il faut donc remédier à cela. S'il parait que les lubrifiants au silicone sont top pour cet usage, je ne les ai jamais utilisés car incompatibles avec mes sextoys qui sont eux aussi en silicone et très chiant à laver. Du lubrifiant à l'eau de qualité fera perfaitement l'affaire.

Nous utilisons, pour le vaginal et l'anal, du gel lubrifiant Intimy que nous achetons en format Maxi. Nous l'utilisons depuis plusieurs années et nous en sommes super satisfaits. Pratique, dure assez longtemps, pas trop cher.

J'ai aussi un lubrifiant Waterglide Anal qui fait très bien son boulot mais qui présent plusieurs inconvénients : il est cher, il colle, le flacon peut arriver à fuir et il provoque une sensation de chaleur voire de picotement. Je ne sais pas s'il y a quelque chose pour essayer de détendre l'anus dedans mais je ne suis pas hyper fan. En usage double avec le gel Intimy ça passe mieux.

Pour terminer, j'ai eu utilisé du Durex Play. Il fait le job mais son prix le rend moins intéressant que le Intimy.

5. Y aller doucement

Peut-être que ce conseil coule de source, mais il faut garde à l'esprit que l'anus n'est pas vraiment fait pour la pénétration. A la base c'est un orifice de sortie (voir le point numéro 1). Donc pour pénétrer des fesses on prend son temps et on y va tout doucement. Voici ce que je pourrais conseiller comme étapes :

1. Détendre. Si on est à deux : une feuille de rose pour détendre et vaguement lubrifier avec la salive. Masser l'orifice tout doucement avec les doigts en prodiguant des caresses ailleurs : fesses, sexe, etc...
   Si on est seul : commencer par caresser, lubrifié ou non, tout doucement en surface en respirant doucement. La respiration aide à la détente de tout le corps. Ne pas hésiter à masser la zone du scrotum.
2. Lubrifier.
3. Insérer un doigt, tout doucement. Faire quelques vas et viens.
4. Lubrifier.
5. Quand on sent que l'orifice se détends insérer un deuxième doigt.
6. Lubrifier.
7. Idem pour le troisième.
8. Lubrifier.
9. Si la / le partenaire est gourmand(e) on peut s'aventurer à glisser un quatrième doigt.
10. Lubrifier.
11. Masser ainsi pendant un moment jusqu'à ce que vous ou votre partenaire soyez détendu et à l'aise.
12. Lubrifier.
13. Tenter la pénétration avec le sexe ou un sextoy. Si ça résiste, ou qu'il y a gêne ou douleur on retourne au point 2. Le ou la pénétré(e) ne doit pas hésiter à pousser un peu. Oui, comme pour aller à la selle. Pousser détend le sphincter et aide à la pénétration.
14. Lubrifier.
15. Une fois que c'est dedans, pas de vas et viens. Laissez le temps à l'anus de s'habituer à la présence de ce corps étranger.
16. Lubrifier.
17. Commencez les vas et vient, tout doucement.
18. Lubrifier.
19. Amusez-vous bien !

Et je le rappelle : prendre son temps. On est là pour du plaisir, pas pour faire la course !

Bien sûr il est possible d'utiliser des sextoys pour agrémenter tout ça. Nous y reviendrons dans le point 7.

6.Les positions

Contrairement à une idée reçue, et je pense véhiculée par la pornographie, je pense que la levrette n'est pas la meilleure position pour la sodomie. Tout du moins au début.

Selon moi le missionnaire est la position idéale pour débuter : l'angle de pénétration est plus doux, surtout avec un sexe ou un jouet courbé et le pénétré est plus facilement détendu car allongé.

Bien sûr avec l'assurance, toutes les variantes sont possibles. Y compris la levrette, cette position fantastique !

7. Ne pas faire (se) faire mal

Comme toute pratique sexuelle, il faut pratiquer ça pour le plaisir. Si la douleur est quelque chose de volontaire soit, allez-y. Mais en principe une sodomie bien préparée ne fait pas mal. Je ne me suis jamais fait mal. Madame n'a jamais eu mal.

Donc en cas de douleur soit on arrête, soit on calme ses ardeurs et on y va doucement !

8. Aider la dilatation

Sodomie n'est pas forcément synonyme de dilatation. On peut pratiquer la sodomie sans y aller comme un bourrin. D'ailleurs certains "spécialistes" affirment que la largeur ne fait aucune différence. Je ne suis pas trop d'accord, moi j'aime bien quand mon cul est dilaté. Donc nous allons en parler.

Pour pratiquer la dilitation, je trouve la position accroupie plus facile : les fesses sont écartées, l'anus s'écarte aussi et finalement le corps est en position de défécation. Ce n'est pas très glamour mais c'est assez vrai. De plus il est possible de contrôler ainsi la pénétration avec les jambes. C'est un peu sportif, j'ai souvent des courbatures aux cuisses après.

Comme abordé à la fin du point n°4 les jouets peuvent aider à être un peu plus détendu et dilaté. Mais pas que.

• Les doigts : les meilleurs amis de quelconque pratique sexuelle, insérer progressivement et doucement les doigts permet d'habituer l'anus à la pénétration et de se dilater tout doucement.
• Les plugs : grand classique de la dilatation, utiliser voire porter des plugs de différentes tailles permet de se dilater tout en douceur (jusqu'à une certaine taille) et progressivement.

Ma collection de plugs. Ceux du milieu sont un peu fatigués.

• Les godes : Idem, si on a plusieurs godes de différentes tailles il est possible de passer progressivement de l'un à l'autre.

Mes godes Real Rapture Natural Living, de gauche à droite :
Eath Flavour Medium de 16.5cm de long, 4cm de diamètre : rentre tout seul après quelques minutes de préparation.
Fire Passion Large de 23cm de long, 5 cm de diamètre: demande un peu plus de travail, d'être très détendu.
Sky Emotion Extar Large de 28cm de long, 6.5cm de diamètre : pour l'instant je n'arrive qu'à rentrer le bout du gland.

Comme toujours. Prendre son temps et lubrifier. On arrive pas au fist en deux temps trois mouvements. Je n'y suis pas tout à fait encore d'ailleurs.

9. S'entraîner

Rome ne s'est pas fait en un jour. Les athlètes n'arrivent pas à des performances incroyables du jour au lendemain sans entrainement. Les stars du porno ne se prennent pas des trucs énormes sans préparation ni habitude.

Ben la sodomie c'est pareil. L'anus et surtout votre corps retiendra ces sensations et s'y habituera. Tout comme le sphincter anal qui est un muscle, et un muscle se dévelloppe quand on le fait travailler. On peut aussi noter les exercices de Kegel qui consistent à contracter les muscles de périnée (zone sexe / anus) qui sont bons pour raffermir tout ça, que ce soit chez Madame ou Monsieur.

10. Messieurs, la prostate est là !

Et profitez en putain ! Hum, pardon... Bref, la prostate est là, dans votre derrière. C'est votre point G, source de plaisirs insoupçonnés pour beaucoup trop d'hommes. Pour l'attendre, deux solutions :

• Avec les doigts : insérer un (ou plus) doigt dans l'anus. La prostate est située sur la face antérieur, côté sexe. Il s'agit d'une petite boule un peu plus dure que le reste et surtout lisse. Titillez-la doucement. Au début la sensation est étrange, un peu comme une envie d'uriner. Avec l'habitude il est possible d'en jouir et d'éjaculer.

1/ Vessie - 2/ Rectum - 3/ Prostate
Source : Wikipedia

• Avec un sextoy : il existe nombre de sextoys pour homme dirigés vers la prostate. On peut penser à l'Aneros par exemple. Pour ma part je possède un plug anal Ass-Gasm de chez Pipedream. Il s'agit d'un plug avec le côté prostate plus développé avec un cockring. L'anneau mit autour des testicules et de la verge va tirer sur le plug et ainsi titiller la prostate via les mouvements du sexe. Et c'est trop bien. En plus sa taille modeste permet de l'utiliser facilement.

Le Anal Fantasy sur la gauche est top pour la stimulation de la prostate.

Conclusion

Voici voilà. Mes conseils qui sont un peu un retour d'expérience ainsi que d'infos glanées à droite à gauche. Ne prenez pas ça pour argent contant. Je recommande notamment le livre Osez... La sodomie aux éditions de La Musardine qui est extrêmement bien fait. Internet est votre ami, plein de bon conseils. Par exemple l'article Sodomie : comment réussir sa première fois sur le blog de Charlie Liveshow.

Régulièrement, j'ai envie de plaisir anal. Et ce que est marrant c'est que c'est presque à intervale régulière.

Auparavant ces envies venaient à peu près une fois par trimestre. Il y a quelque mois, ça a commencé à arriver une fois par mois. Dernièrement, c'est presque toutes les semaines. Je n'ai pas toujours l'occasion de pouvoir m'amuser avec un gode alors il faut bien que j'essaye de soulager ces envies.

Généralement, je me contente de caresser mon anus en surface. Si ça ne suffit pas, je me doigte avec un ou deux doigts en utilisant de la salive comme lubrifiant et je titille ainsi ma prostate jusqu'à ce que je sois un peu soulagé. 

Malgré tout, cela ne suffit pas toujours pour me soulager et ces envies reviennent vite. Le plus efficace étant tout de même de me dillater avec un plug et de m'enculer avec un bon gode. Quel bonheur !

Finalement j'aime tellement le plaisir anal, et j'en ai parlé maintes fois ici, que c'en est presque devenu une dépendance. Lors de certaines periodes, lorsque j'étais seul plusieurs jours, il m'est arrive de pratiquer ces divins plaisir tous les soir. J'ai ainsi pu constater que plus on pratique, meilleur c'est ! Et cette pratique régulière me manque un peu.

Ce qui est assez extra c'est que lorsque je prend du plaisir avec mon cul, je n'ai pas nécéssairement besoin de stimuler mon sexe. Il est même assez rare que je me branle pendant que je partique ces plaisirs anaux. C'est déjà arrivé bien sûr, avec un orgasme dingue à chaque fois, mais je trouve que j'apprécie plus le moment si je me concentre uniquement sur mon anus et les sensations qu'il m'apporte plutôt que de multiples plaisirs en même temps. Si je me finis je fais ça un peu après, une fois remis de mes émotions rectales.

Photos issues de séances d'exhibition jamais publiées.

Un gros cul qu'il faut stimuler. Source de bien des plaisirs.

J'adore ce plug cockring. Il stimule la prostate, dillate efficacement et lors que je me branle il titille la prostate.

Le meilleur moyen de se soulager !

Comme dit dans mon précédent article, où je m'exhibe lors d'une sodomie solitaire, j'ai récemment décidé d'accepter totalement que je suis un pervers. La crise de la treintaire qui approche ? Aucune idée !

En fait je me suis toujours intéressé au sexe, dès que j'ai compris comment ça marchait. Et depuis que je suis avec Madame cela explosé. J'ai découvert mes fantasmes, le travestissement, le plaisir anal, l'urophilie, la scatophilie... Et j'assume tout ça pleinement, et ce depuis longtemps. En fait l'ouverture de ce blog m'y a grandement aidé ! Mais lros, pourquoi me suis-je dis récemment "Tu es un pervers, assume le !".

Et bien je pense que c'est en couchant sur le papier, dans deux lettres pour Madame, et sur ce blog mes envies de soumission. J'ai réalisé que j'étais excité par un grand nombre de choses, que je pouvais prendre du plaisir de plein de façons différentes et que je n'avais pas ou peu de tabou. Donc je suis ce que d'aucun appellerait une pervers. Mais que dit le dictionnaire du mot pervers, au sens sexuel du truc ? Voici ce que disent quelques dictionnaires :

Le Larousse :

pervers, perverse :
adjectif et nom

(latin perversus, de pervertere, pervertir)

Dont les instincts sexuels se manifestent par un comportement anormal.

lintern@ute :

Adjectif : Qui est atteint de perversion sexuelle. Synonymes : vicieux, dépravé

Nom : Personne atteinte de perversion sexuelle.

Allons voir dépravé sur ce même site :

Perverti, qui a perdu tout sens moral.
Synonymes : libertin, dévergondé, dissolu, immoral, débauché, avili, corrompu, perverti

Mouais. Toutes ces définitions sont bien négatives et je ne me retrouve pas forcément là dedans. Allons dans la bilbliotèque et regardons le Dictionnaire des fantasmes, perversions et autres pratiques de l'amour :

Perversions :

Aussi appelée "paraphilies", "déviances", "aberrations", "anomalies sexuelles", "sexualité déviante", "sexualité marginale", voire "crimes", les perversions sont finalement des actes sexuels qu'un pouvoir réprouve ou que l'on juge dangereux pour la personne qui s'y adonne ou pour la société. (Allgeier, Sexualité humaine, De Boeck-Wesmael, 1988)

Je ne vais pas recopier tout l'article qui fait une analyse sociale, psychologique et philisophique de la chose pour ne partager sur la conclusion.

Car la position de Sigmund Freud semble la seule tenable en ce domaine, c'est-à-dire la seule qui ne puisse pas être récupérée par une morale ou une politique : est pervers ce qui fait souffrir. Est pervers ce qui entrave les possibilités d'être heureux. Est pervers ce qui nuit à l'équilibre de l'individu. Ce n'est donc pas l'acte "paraphilique" lui-même qui crée la persversion, mais la manière dont il est vécu, comme les raisons qui font qu'on l'a posé.

Donc pour finir sur ces très mauvaises élucubrations socio-linguistico-culturelles, je vais vous donner ma définition de pervers au sens sexuel du terme :

Individu qui pratique pour son plaisir toutes sortes de pratiques sexuelles, aussi nommées paraphilies, en marge de la sexualité normalisée admise par la société. Qu'il s'agisse de pratiques ou de fétichisme, son objectif est en tirer du plaisir, du bonheur et du bien-être.

Et tant pis si les plus fins psychologues d'entre vous ne sont pas d'accord .

Donc d'après-moi, qu'est-ce qui fait de moi un pervers ? Le fait que je puisse être excité par beaucoup de choses et que je puisse prendre du plaisir, sans tabou, de plein de manières différentes, et ce blog en est le parfait exemple : masturbation, sodomie, urophilie, scatophilie, exhibition, fantasmes, soumission... Tout ce dont je parle ici je l'assume, tout du moins dans la sphère privée. Madame le sait parfaitement.

Des exemples ? Allons y !

• Je suis ouvert à quasiment tout. Toutes les pratiques qui permettent de prendre du plaisir sexuel, d'un manière ou d'une autre dans le respect de l'autre m'intéresse.

• J'ai beaucoup de fantasmes. Je fantasme de coucher avec un ou des hommes, de voir Madame avec une femme, de coucher avec Madame et un autre couple (article à venir !), de me faire dominer et humilier et de me faire tromper.

• Quand je me branle je peut être excité par un grand nombre de chose. Tout d'abord mes fantasmes ou me remémorer nos rapports les plus chauds. Bien sûr il y a le porno où je peut m'astiquer devant variété de sujet. Bien sûr les classiques films hétéro, lesbiens, plan à trois... Mais j'apprécie tout autant, sinon plus les truc un peu plus décalés : la sodomie et les culs bien dilatés, les bites, surtout grosses, j'adore les films gay ou avec des trans ou des travestis, le SM où le ou la soumise se font humilier et subissent toutes sortes de sévices.  Ou encore l'urophilie, la scatophilie ou l'émétophilie.

• Comme je l'affiche régulièrement ici, j'adore le hentai. Ces manga pornographiques débordent d'imagination et de perversité, explorent des idées perverses, surprenantes, parfois dégeulasses ou immorales. Et c'est cet imagination, cette diversité que j'aime. Je pense nottament à l'inceste, aux futanaris, aux travestis et à la domination et l'humiliation... Ajoutons aux oeuvres dessinées le furry, ces animaux anthropomorphes que je n'ai que trop peu abordé ici.

• Le plaisir anal ! Ah, le plaisir anal... J'en ai déjà longuement parlé à de multiples reprise ici mais j'adore ça. J'adore prendre du plaisir avec mon cul. Dilater mon anus. Titiller ma prostate... Que de plaisirs divins ! Malheuresement, je pense que peu d'hommes acceptent et assument ce plaisir. Je l'ai accepté depuis très longtemps, mais je ne l'assume pas en public.

• J'adore l'urophilie. J'aime me pisser dessus, j'aime goûter et boire mon urine. Je trouve cela divin et cette pratique m'excite au plus haut point.

• J'aime me travestir. Alors, comme vous avez pu le voir précédemment cela ne va pas du tout. Néamoins j'adore porter de la lingerie féminine. J'aime son contact sur ma peau et poter culottes, tangas et des bas me fait me sentir sexy et féminin.

• J'ai eu pratiqué la scatophilie. Je ne le pratique plus pour des raison de pratique, d'hygiène et car j'ai tout de même beaucoup de mal avec l'odeur persistante. Mais je ne regrette pas pour autant mes expériences coprophiles, au contraire ! Je suis heureux d'avoir expérimenté ça et je ne ma cache pas avoir été très excité et y a voir pris énormément de plaisir.

• J'aime être soumis. Même si nous ne le pratiquons encore que (trop ?) peu j'aime que Madame prenne les choses en main et m'humilie en me disant des choses vexantes. Je vous envoie sur l'article parlant de mon envie de soumission pour de plus amples détails.

• Porter une cage de chasteté de temps en temps m'apporte en sentiment d'excitation et de soumission. J'adore quand je ne peut rien faire à Madame car mon sexe est enfermé dans cette dure cage.

• Dernièrement j'ai pris beaucoup de plaisir à m'exhiber sur ce blog. J'adore prendre des photos, les traiter et les partager ici.

• Et pour terminer j'adore passer des soirées "cul". Ce que j'appelle des soirées "cul", sont des soirée où, lorsque je suis seul, je consacre ma soirée à la pratique de la luxure solitaire. Me branler, pratiquer l'urophilie, jouer avec mon cul, m'enfermé dans une cage de chasteté... Parfois tout en même temps et même plus, et cela peut parfois durer pendant des heures. Je tente de ne jouir qu'au dernier moment pour avoir l'ogasme le plus salvateur et intense ou le plus frustrant possible, selon mon humeur. Exemple ? Exemple :

• Je vais me branler jusqu'à la limite de l'éjaculation et ce plusieurs fois.
• Je vais m'enfermer dans une cage de chasteté et me travestir.
• Je vais ainsi vaquer à mes occupations, lire des choses sur le sexe, regarder des films porno, tout pour maintenir l'excitation déjà intense. 
• Si j'ai envie de pisser je vais me délecter d'une partie de ce doux nectar.
• Dans l'impossibilité de me branler, je vais me sodomiser avec un gode jusqu'à avoir mon sexe qui dégouline de liquide séminal.
• Enfin, après plusieurs heure de stimulation et de frustration je vais éjaculer et parfois goûter mon sperme, si l'excitation ne retombe pas instantanément.

Voici un condensé de ce pourquoi je me considère pervers. C'est ma définition de la chose, et j'assume !