Je suis décidément plutôt productif cette semaine. Aujourd’hui je vais être plus soft, sûrement le billet le plus soft du blog d’ailleurs. Je vais parler de la source de mes premiers émois sexuels, d’une chose que j’adore : la lingerie féminine. Attention, billet richement illustré !

Du classique pour commencer.

Le photographe doit lui raconter des conneries...

Aussi loin que je m’en rappelle, j’ai toujours trouvé la lingerie féminine attirante. Que ce soit dans les catalogues, les publicités dans la rue, les présentoirs des magasins, les calendriers comme ceux d’Aubade, j’ai toujours aimé la lingerie. C'est une histoire de matières, de toucher, de formes, de vue...

Une des collections d'Agent Provocateur.
J'en achèterais bien à Mademoiselle mais les prix...
Le tanga de la demoiselle sur le sofa coûte 235 €. Ouch.

Un magnifique porte-jartelles.

Je trouve aussi les gants très érotiques.

 J’ai déjà dit maintes foisadorer les formes galbées des femmes. La lingerie les met encore plus en avant par sa coupe, ses couleurs, ses matières. C’est aussi un magnifique subterfuge pour dissimuler les parties intimes des femmes, ne laisser entrevoir que ce qu’il faut de peau sans tout dévoiler. Ainsi la lingerie va mettre en avant la poitrine, les fesses ou les jambes sans trop en montrer.Juste laisser apercevoir les courbes.

Juste ce qu'il faut...

Elle, elle en montre plus.

De plus j’adore les matières. Je trouve le toucher de la dentelle agréable, celui du nylon divin. Les appareils en dentelle me plaisent car ils laissent parfois entrevoir la peau sous le vêtement. Quant à ceux plus classiques je les aime tout autant dans la mesure où ils mettent en avant le corps de la femme.

Un soutient gorge classique mais agréable.

Un joli corset (et un joli cul aussi).

Les dessins ont aussi leur importance. Un soutient gorge ou une culotte classique et uni(e) me plaisra mais si le tissu  est orné de dessins, même uni dans la coupe, il captera bien plus mon attention. Le top étant la dentelle ou les éléments proposant un relief façon dentelle. Quant à la couleur elle n’a que peu d’importance.

Classique mais efficace. Et ce regard !

De la dentelle.

J’ai une attirance toute particulière pour les bas. Je l’ai déjà fait remarquer dans de nombreux billets. Qu’ils soient auto-fixants ou qu’ils aient besoin de porte-jarretelles je les adore. Pourquoi ? Parce qu’ils cachent les jambes et qu’en remontant pour apercevoir la cuisse on tombe sur de la dentelle ou un bord plus marqué annonçant la peau. Ils ne cachent que partiellement la cuisse. Je trouve ça exceptionnellement érotique. De plus, sans être fétichiste des pieds, j’aime bien voir un pied enserré dans le nylon dans un bas.

J'adore ses bas hauts et ses pieds.

Bas et talons haut, le duo imparable !

Un joli haut, un joli string, de jolis bas résille.

Croyez le ou pas mais c'est une transsexuelle.
Bluffant, hein ?

Le jour ou Mademoiselle a accepté de porter des bas autofixants pendant que nous faisions l’amour (de couleur chair, je me souviens, nous devions acheter des noirs et nous nous sommes plantés) elle m’a fait un de ses plus beaux cadeaux. Tout comme quand elle porte les ensemble de lingerie que je lui ai offert. J’ai aussi réalisé un fantasme la première fois où je me suis travestit et que j’ai porté un bas. C’est extrêmement agréable à porter, j’adore le toucher du nylon sur ma peau. C’est bien dommage qu’il n’existe pas pareils accessoires pour les hommes.C'est aussi en partie pour ça que j'aime bien les travestis et les transsexuelles.

Du nylon "dentelle" intégral.
Mademoiselle possède une combinaison comme ça en résille.

Encore cette belle transsexuelle.

N'oublions pas les travestis.

En lingerie avec un doigt dans le cul !

En bref je suis sûrement fétichiste de la lingerie et je ne trouve rien de plus beau qu’une femme ansi vêtue. C’est sensuel, érotique et donc excitant. Soutient gorge ridige ou souple, culotte, tanga, string, shorty, body, guépierre, nuisette, bas, porte-jartelles, dentelle, nylon, lycra... Je vous aime ! 

Pour terminer, je dirais que la lingerie est une ôde à la féminitée.

Retrouvez une gallerie dédiée à la lingerie parmis les galleries que j'ai mise en ligne : femmes enceintes, lesbiennes, gay, transsexuelles, travestis et urophile.

J'aimerais bien trouver un tanga comme ça pour Mademoiselle.	Deux très bonne copines en porte jaretelles.
Un beau body.	Dentelle simple mais efficace.
J'aimerais aussi trouver ce genre de tanga.	Lingerie sauce Vintage.

Elle, on lui mettrais bien la fessée !

Bretelles et porte-jartelles. Original.

Une jolie asiatique vue d'en dessous.

Elle a un air féline. Meow !

Encore notre transsexuelle.

Dans la continuité de  mon fantasme homosexuel  j’ai un autre fantasme du même genre : coucher avec deux hommes en même temps. Je vais donc narrer un scénario possible. Cette fois-ci je vais essayer de faire dans le fictionnel pour illustrer mon propos et de mettre des images pour chaque paragraphe. C’est le remaniement d’un texte que j’avais écrit à Mademoiselle.

Ce que j’aimerais c’est d’être soumis à deux hommes, être leur objet sexuel. Que je commence par les embrasser et les caresser pour ensuite prendre en main leurs sexes, que je les branle et les suce afin de faire durcir leurs bites flaccides afin que je puisse sentir leurs deux grosses queues occuper mes deux mains. Je me sens en transe, entouré de deux beaux sexes rien qu’à moi. Je me délecte de leurs bites avec un grand plaisir, l’une dans la bouche et l’autre dans ma main pour la branler. Je prends soins de leurs membres allant jusqu’à sucer les deux en même temps. Pendant que je m’occupe d’eux, les deux gars s’embrassent et se caressent.

Double fellation.

Peu après je me mets sur le lit, comme ils me l’ordonnent : à quatre pattes le cul en l’air. L’un se met sous moi, son sexe face à mon visage, et commence à me sucer tandis que l’autre entreprend de me lécher le cul d’une façon énergique. Je ne résiste pas à sucer la belle queue saillante devant moi. Celui qui me léchait commence à me doigter avec du lubrifiant d’une façon assez énergique pour dilater mon cul qui n’attends qu’une grosse bite pour le remplir.

Le cul bien en l'air, prêt à se faire baiser.

Sans m’avertir il commence à me pénétrer alors que celui en dessous de moi continue à me sucer alors que j’ai arrêté, bien incapable de faire quoi que ce soit tant les coups de bites dans mon cul sont forts. Plus ça va, plus celui qui m’encule y va brutalement et me défonce le cul. Celui sous moi sors de là, m’embrasse et se met à genoux devant moi et me présente sa queue. Il m’ordonne "Suce !". Sans hésiter je m’exécute et avale sa queue. Je le suce aux rythmes de la sodomie.

 Une bite dans le cul, une dans la bouche.

Celui derrière moi me tape sur les fesses et me dit "Cambre toi, lève ton cul salope ! Tu aimes ça, hein !". Je cesse de sucer et réponds "Oh oui ! Baise-moi, défonce-moi le cul ! Encule-moi comme une bête ! Je suis votre pute !". Je reprends en bouche pendant que les deux s’embrassent au-dessus de moi.

Une énorme queue dans le cul. Quel bonheur ce soit être.

Le gars devant moi me dit "Tu aimes prendre des bites, hein ? Alors voilà !". Il empoigne ma tête et la pousse violement contre sa bite. Je ne contrôle plus le rythme auquel je le pompe mais c’est lui au rythme de sa main et de ses hanches qui mène le jeu. Je me fais baiser la bouche et le cul et j’aime ça. Je sens la grosse queue frotter contre ma prostate et j’ai de violents orgasmes anaux.

Mon enculeur me claque chaque fesses et me demande "Ça te dirais deux bites dans ton cul ?". Je réponds par l’affirmative sans hésitations. Il se retire, mon cul n’est plus qu’un orifice béant. Ils entreprennent de me doigter encore pour me dilater encore plus et titillent ma prostate. Ils me fistent presque. L’homme que je suçais passe sous moi. Je pose mon cul sur sa queue et quand elle est bien rentrée l’autre m’enfonce une deuxième bite dans mon gros trou de balle bien dilaté. Ils font des vas et viens et je ressens un immense plaisir par ma prostate, la dilatation et la situation. Leurs queues se frottent l’une contre l’autre dans mon anus. Ils m’enculent comme ça pendant un moment et sortent. Mon cul est chaud et complètement ouvert.

La double sodomie, deux queues dans le cul.

Celui que je suçais auparavant me fait venir sur lui en me laissant décider du rythme et celui qui me sodomisait en premier apporte sa queue à ma bouche. Je suce sa queue tout chaude qui sort de mon cul, c’est dégoutant mais ça m’excite. Soudain ils me couchent et celui qui me baise entame de violents vas et viens avant de me dire "Je vais jouir, je vais jouir dans ton gros cul !". Je sens sa queue se contracter en moi pendant qu’il déverse son foutre dans mon anus. Ils échangent de place, celui qui m’enculait se met à me sucer et à me branler tandis que l’autre prend sa place dans mon cul. Il me baise dans le foutre de l’autre. Je jouis dans la bouche de celui qui me taille une pipe. Il m’embrasse et déverse tout mon foutre dans ma bouche. Celui qui me baise va jouir, il sort sa queue de mon orifice dilaté et éjacule sur mon visage. J’ai le visage recouvert de semence, la bouche pleine de foutre et de mon cul coule le sperme chaud dont il est rempli.

Une bite bien enfoncée.

Hum... Se faire sodomiser et sucer en même temps !

Un baiser crémeux plein de foutre.

Une fontaine de sperme.

Le cul qui dégouline de semence toute chaude.

Après tant d’ardeur nous nous allongeons les uns contre les autres en nous caressant et en nous embrassant.

Un repos bien mérité.

Voici une des manière dont j’imagine un triolisme gay, un scénario où je suis soumis et où je me fait baiser sauvagement.

Attention ! Ce billet peut peut-être choquer certaines personnes.

C'est un billet que je trouve un peu difficile à écrire car il concerne un de mes tabou sexuel : la scatophilie. J'ai d'ailleurs longtemps hésité avant de l'écrire.

Je ne suis pas du tout attiré par la scatophilie, je trouve ça répugnant, dégoutant et rien que le fait d'avoir vu le grand classique d'Internet qu'est 2 Girls 1 Cup me donne envie de vomir. Oui c'est à ce point-là. Je ne m'imagine pas du tout jouer avec mes selles et encore moins avec celles de quelqu'un d'autre. Quant à la goûter (scatophagie), non merci... Même en sauce ! 

Tiffa de Final Fantasy 7 qui pisse et défèque.

Entre deux tables...

Pourtant il y un domaine où la scatophilie ne me dérange pas : le hentai. Le fait que ce soit dessiné, que ce ne soit pas de vrais excréments ne me choque pas et me fait plutôt penser à quelque chose comme un gode qui sort de l'anus. De plus l'extraordinaire exagération de la taille des fèces renforce cet impression d'irréalisme.

Quand je vous dis que ce n'est pas réaliste...

Deux gros culs qui chient.

Mon premier contact avec la scatophilie dans le hentai a été dans le manga Mother-Daughter Training Diairies de Fuusen Club mettant en scène un mère initiant avec un homme sa fille aux arcanes du masochisme. Afin de marquer la fin de sa formation de soumise défèque en public.

Extraits de Mother-Daughter Training Diairies :

Donc là elle chie devant sa classe...

Ben oui, ça surprend.

On dirait un gode.

Mon deuxième contact a été avec le dojinshi Evangelion - Sodom no Hyakunijyuu Jikan (ouf) de Yami ni Ugomeku comprenant une scène de scatophilie. Ce volume met en scène les personnages Shinji Ikari et Asuka Langley de l'excellent animé Evangelion baisant ensemble. Après une feuille de rose Asuka se défèque dessus puis Shinji la sodomise.

Extraits d'Evangelion - Sodom no Hyakunijyuu Jikan :

Qui va faire le ménage après, hein ? On y pense jamais dans le hentai !	Irréaliste je vous dit...
Hop ! Sodomie !	Au moins c'est déjà dilaté.

Je suis ensuite tombé sur un thread (sujet) sur le 7chan (sur le /d/ - Alternative Hentai) ma fois fort fourni en images scatophiles dont certaines qui ne m'ont pas laissé indifférent. J'y ai aussi découvert le sympathique manga Bookworm Scat ! de Kitani Sai.

Extraits de Bookworm Scat ! :

Ca madame, c'est un serpent !

Constipée je veux bien, mais quand même...

Du coup, après tout ça j'ai réessayé de regarder un vrai film scatophile, histoire de voir si quelque chose avait changé. Rien à faire, ça me dégoute toujours autant et je crois que c'est tant mieux. Mais alors, qu'est-ce qui change tellement entre la réalité et les dessins ?

Elle, elle n'a pas pu se retenir.

Elle chie une grosse merde en baisant.

Comme je l'ai dit plus haut : une impression d'irréel, d'exagération rapprochant plus les excréments de godes que de vraies merdes. Et puis il y a cette sensation de braver un genre d'interdit, mais pas trop parce que ce sont des dessins. Cela me rappelle les premières fois que j'ai vu des actes homosexuels ou du furry, j'ai été troublé pour finalement assumer.

Elle chie à s'en déformer le cul et elle prend son pied.

Un petit caca entre copine.

Sans associer à l'urophilie qui est une pratique différente, je pense que j'aime bien la scatophilie dans le contexte du hentai par le fait de voir faire des besoins naturel, tout comme pisser. Je trouve ça excitant de voir des femmes s'humilier en chiant ou en baignant dans leur merde.

Elle baigne dans sa propre merde.

Chun-Li de Street Fighter qui défèque sur elle même. Paradoxe ? Je pense.

Et puis je suis parfois excité par des choses que d'aucun qualifierait d'un peu "dégueulasses" comme l'urophilie, la cyprine ou le sperme. Comme beaucoup de chose que j'aime dans le hentai, c'est la représentation hors norme et la bizarrerie de la chose. Je rapelle bien sûr que tout cela ne concerne que le hentai et que la réelle scatophilie me dégoute. 

Douche dorée plus douche marron ?

Peut-on appeller ça une double pénétration ?

Alors bon, je ne regarde pas ce genre d'images tous les quatre matins mais j'avais tout de même envie d'en parler et puis ça m'a amusé de poster des choses aussi dégoutantes .

Oui, c'est aussi une manière de sortir un chapelet thai...	"Merde, j'en fais quoi ?"
Euh, ça c'est pas techniquement possible... Je crois...	Omnomnomnom :X.