Journal d'un pervers dilettante

Ce soir, sans raison particulière, j'étais très excité. Ayant pas mal envie d'essayer des pratiques sadomasochiste (soft hein) avec Mademoiselle, tant en dominant qu'en soumis, j'ai voulu tenter le self bondage. Comme son nom l'indique le self bondage ou auto-bondage en bon français est l'art de pratiquer le bondage, c'est à dire s'attacher pour le plaisir sexuel et / ou d'être attaché, seul, sans partenaire. Pour ne rien arranger, j'avais des envies de sexe anal.

Bondage avec des cordes, très technique !

Mhhh, mmmhh mhhh !

Elle ne semble pas jouasse la demoiselle.

Bondage home made, simpe mais efficace.

J'ai commencé par me doigter le cul et m'enfoncer tout nouveau gode au plus profond de moi. Une fois celui-ci en place j'ai commencé à m'auto-bondager (néologisme me voici !). Je me suis mis un collier et une laisse de chien, une boule bâillon dans la bouche, j'ai me suis menotté les mains dans le dos au niveau du gode pour le retenir et je suis resté ainsi allongé un moment.

Japon, pays du bondage.

Dur de ne pas baver avec un ball gag.

Son regard semblr dire "Qu'attends-tu pour me faire mal ?".

J'éprouvai un intense sentiment de plaisir et de soumission dans cette position. Tantôt je ne bougeais pas, tantôt je gesticulais pour sentir le gode bouger dans mon cul. J'aurais aimé que Mademoiselle soit là pour me flageller avec notre martinet. J'ai dû rester comme ça une dizaine de minutes avant de me libérer. Il va sans dire que ces dix minutes avec un gode ont bien distendue mon trou. J'ai continué à jouer avec mon cul avec mes doigts et le gode pendant une autre dizaine de minutes.

N'ayant pas d'images de self bondage, je l'illustre avec des images de SM / bondage soft.

Bobo la circulation...

Cette image est déjà passée sur le blog mais je l'aime beaucoup.

Attachée et pluggée.