Journal d'un pervers dilettante

Il y a un domaine de la pornographie que j’adore : le hentai. Le hentai est une catégorie de mangas pour adultes. Il se divise en de nombreuses sous-catégories. Je me suis dit que cela vaudrait le coup de faire un article quand j’ai vu le nombre de tomes que je possède sur mn ordinateur en les triant par auteurs et par séries hier soir… Parler de hentai revient donc à parler de tout un tas de choses. Il existe donc des mangas (les bouquins), des animés, des jeux et on trouve aussi tout un paquet d’images diverses et variées de différents auteurs.

On commence soft...

Personnellement je ne suis pas fan des animés. Je ne les ai jamais trouvé bien dessinés ni bien animés. Idem pour les jeux, la plus part du temps ce sont des aventures textuelles avec des écrans fixes ou plus récemment des jeux en 3D un peu bidons (mais rigolos). Ce que j’aime particulièrement ce sont les mangas (les bouquins si vous suivez) qu’on trouve en abondance sur Internet, que ce soit en japonais (pour les images donc), en anglais ou même parfois en français et les diverses images que l’on peut trouver un peu partout.

On continue sur un petit gang bang...

La chose que je trouve attirante dans le hentai c’est que c'est une l’illustration de l’extrême perversité des Japonais. J’avais déjà parlé des  noise-hook originaires du japon et je parlerais sûrement de leurs fantaisies sexuelles, mais les mangas de hentai, et le hentai en lui-même, en sont un parfait exemple.Tout comme dans le porno japonais on peut remarquer dans le hentai une censure légère consistant à flouter ou masquer d'une légère barre noire les organes sexuels.

Du yuri.

Outre les rapports normaux on y trouve énormément d’inceste (le fantasme japonais de la petite sœur, le fils dominant la mère et j’en passe), les classiques tentacules violant de frêles jeunes filles, des viols, diverses pratiques sadomasochistes, les futanari (des hermaphrodites, des femmes avec un sexe masculin et féminin), les yaoi (gay), les yuri (lesbiens), la zoophilie ou le scato. 

De classiques tentacules.

On y trouve aussi des trucs bien plus glauques comme les loli (jeunes filles pré-pubères) ou le guro. Personnellement je fuis comme la peste ces dernières catégories… Bien sûr il existe encore beaucoup de variations selon les idées plus ou moins tordues des auteurs. Il existe aussi une sacrée tendance à parodier nombres d'oeuvres non pornographiques comme d'autres mangas ou des jeux vidéo.

Du futanari.

Je lis pas mal de mangas en anglais et même sans forcément me branler. Certains sont plutôt drôles, souvent magnifiquement dessinés ou avec de "vraies histoires" et ça me fait bosser un peu mon anglais. J’y ai appris du vocabulaire sexuel et non sexuel !Je pense que par la suite je ferais des articles sur des auteurs  et / ou des mangas que j’aime bien.

Et un yaoi du génial Po~Ju pour finir !