Journal d'un pervers dilettante

Attention ! Ce billet peut peut-être choquer certaines personnes.

C'est un billet que je trouve un peu difficile à écrire car il concerne un de mes tabou sexuel : la scatophilie. J'ai d'ailleurs longtemps hésité avant de l'écrire.

Je ne suis pas du tout attiré par la scatophilie, je trouve ça répugnant, dégoutant et rien que le fait d'avoir vu le grand classique d'Internet qu'est 2 Girls 1 Cup me donne envie de vomir. Oui c'est à ce point-là. Je ne m'imagine pas du tout jouer avec mes selles et encore moins avec celles de quelqu'un d'autre. Quant à la goûter (scatophagie), non merci... Même en sauce ! 

Tiffa de Final Fantasy 7 qui pisse et défèque.

Entre deux tables...

Pourtant il y un domaine où la scatophilie ne me dérange pas : le hentai. Le fait que ce soit dessiné, que ce ne soit pas de vrais excréments ne me choque pas et me fait plutôt penser à quelque chose comme un gode qui sort de l'anus. De plus l'extraordinaire exagération de la taille des fèces renforce cet impression d'irréalisme.

Quand je vous dis que ce n'est pas réaliste...

Deux gros culs qui chient.

Mon premier contact avec la scatophilie dans le hentai a été dans le manga Mother-Daughter Training Diairies de Fuusen Club mettant en scène un mère initiant avec un homme sa fille aux arcanes du masochisme. Afin de marquer la fin de sa formation de soumise défèque en public.

Extraits de Mother-Daughter Training Diairies :

Donc là elle chie devant sa classe...

Ben oui, ça surprend.

On dirait un gode.

Mon deuxième contact a été avec le dojinshi Evangelion - Sodom no Hyakunijyuu Jikan (ouf) de Yami ni Ugomeku comprenant une scène de scatophilie. Ce volume met en scène les personnages Shinji Ikari et Asuka Langley de l'excellent animé Evangelion baisant ensemble. Après une feuille de rose Asuka se défèque dessus puis Shinji la sodomise.

Extraits d'Evangelion - Sodom no Hyakunijyuu Jikan :

Qui va faire le ménage après, hein ? On y pense jamais dans le hentai !	Irréaliste je vous dit...
Hop ! Sodomie !	Au moins c'est déjà dilaté.

Je suis ensuite tombé sur un thread (sujet) sur le 7chan (sur le /d/ - Alternative Hentai) ma fois fort fourni en images scatophiles dont certaines qui ne m'ont pas laissé indifférent. J'y ai aussi découvert le sympathique manga Bookworm Scat ! de Kitani Sai.

Extraits de Bookworm Scat ! :

Ca madame, c'est un serpent !

Constipée je veux bien, mais quand même...

Du coup, après tout ça j'ai réessayé de regarder un vrai film scatophile, histoire de voir si quelque chose avait changé. Rien à faire, ça me dégoute toujours autant et je crois que c'est tant mieux. Mais alors, qu'est-ce qui change tellement entre la réalité et les dessins ?

Elle, elle n'a pas pu se retenir.

Elle chie une grosse merde en baisant.

Comme je l'ai dit plus haut : une impression d'irréel, d'exagération rapprochant plus les excréments de godes que de vraies merdes. Et puis il y a cette sensation de braver un genre d'interdit, mais pas trop parce que ce sont des dessins. Cela me rappelle les premières fois que j'ai vu des actes homosexuels ou du furry, j'ai été troublé pour finalement assumer.

Elle chie à s'en déformer le cul et elle prend son pied.

Un petit caca entre copine.

Sans associer à l'urophilie qui est une pratique différente, je pense que j'aime bien la scatophilie dans le contexte du hentai par le fait de voir faire des besoins naturel, tout comme pisser. Je trouve ça excitant de voir des femmes s'humilier en chiant ou en baignant dans leur merde.

Elle baigne dans sa propre merde.

Chun-Li de Street Fighter qui défèque sur elle même. Paradoxe ? Je pense.

Et puis je suis parfois excité par des choses que d'aucun qualifierait d'un peu "dégueulasses" comme l'urophilie, la cyprine ou le sperme. Comme beaucoup de chose que j'aime dans le hentai, c'est la représentation hors norme et la bizarrerie de la chose. Je rapelle bien sûr que tout cela ne concerne que le hentai et que la réelle scatophilie me dégoute. 

Douche dorée plus douche marron ?

Peut-on appeller ça une double pénétration ?

Alors bon, je ne regarde pas ce genre d'images tous les quatre matins mais j'avais tout de même envie d'en parler et puis ça m'a amusé de poster des choses aussi dégoutantes .

Oui, c'est aussi une manière de sortir un chapelet thai...	"Merde, j'en fais quoi ?"
Euh, ça c'est pas techniquement possible... Je crois...	Omnomnomnom :X.