Journal d'un pervers dilettante

Je me suis récemment acheté un nouvel appareil photo, aucune raison de ne pas l'étrenner ici aussi.

J'ai profité d'une journée au calme pour m'épiler. Excité comme j'étais, et ne voulant pas éjaculer, j'ai enfilé ma cage de chasteté. Je pensais la porter pour la journée mais le sort en a voulu autrement.

Après m'être prodigué un lavement anal j'ai joué avec des plugs et un gode, j'ai enfilé le masque que j'utilise dans le billet précedent mais non pas avec le museau mais avec le baillon et le masque sur les yeux. Je suis ainsi resté allongé, avec un gode dans le cul a faire des vas et viens avec mes hanches, caresser mon corps, mes mamelons pincés avec les pinces à mamelons et ma petite queue enfermée.

Je m'imaginais que Madame était autour de moi, a me flageller le corps en me faisant remarquer à quel point j'étais pathétique ainsi grimmé, avec cette petite bite inutile coincée dans la cage de chasteté.

A ma grande surprise, et chose que je voulais éviter, j'ai joui. Une éjaculation violente et puissante a jailli de la cage. J'ai joui uniquement par la stimulation de mes mamelons et de mon anus. Malheureusement, je n'ai pas pu immortaliser cet instant.

Ma queue toute lisse et toute propre.

On dirait que mon gland est poli.

Que faire à part enfermer cette petite queue en cage ?

Autre lumière, autre profil...

Ça fait mal mais j'adore ça !

Cage, tanga et bas.

La cage me va comme un gant, elle est même presque encore un peu trop grande.
Pourtant c'est une copie d'une CB-6000S, S pour Small.

Je n'ai pas été plus loin que mon gode de taille normale. Aujourd'hui cela me suffisait.

Le divin plaisir anal.