Lundi 12 mars 2012
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Comme je l’ai écrit dans le précédent article concernant mon
fantasme homosexuel, j’aime le plaisir anal. Je l’ai découvert grâce à Mademoiselle qui après sa première sodomie m’a proposé de me faire à son tour une feuille de rose et de
me doigter le cul, peut-être pour me rendre la pareille ? En tout cas ce fut LA révélation et le départ de mon fantasme gay !
Peu après j’ai commencé à jouer avec mon anus lors de mes séances de masturbation. Au début je me doigtais puis j’ai commencé à utiliser un gode que Mademoiselle
n’utilisait pas. J’ai par la suite acheté un ensemble de trois plugs et un chapelais thaïlandais plutôt magique. Bien sûr j’utilise aussi du lubrifiant à base
d’eau et un préservatif sur le gode pour plus de confort.
Les plugs petits et moyens sont géniaux pour préparer mon cul avant de recevoir le gode et le plus gros est parfait lorsque j’ai envie d’être bien dilaté.
Lorsque je l’utilise mon trou est bien distendu et je peux presque me fister (entrer complètement la main), seule l’articulation de mon poignet m’en empêche.
Le chapelais thaï quant à lui rentre facilement sans dilatation et c’est surtout à la sortie que le plaisir se fait ressentir, lorsque les boules permettent à l’anus de se
dilater puis de se resserrer alternativement.
Je possède aussi un gode ceinture mais nous ne en sommes que trop peu servit, bientôt j’espère !
Mes séances masturbatoires avec les sex toys ressemblent à peu près à ceci :
Nu sur mon lit, je commence par me caresser le corps et me branler puis, doucement, je glisse mes doigts vers mon anus puis m’enduit de lubrifiant et me doigte.
Je m’enfonce un, deux, puis trois doigts pour me dilater et caresser ma prostate, ce qui me procure un plaisir divin. Mon sexe mouille, dégouline de liquide
séminal que je m’empresse de goûter.
En général j’enchaine directement avec le plug de taille moyenne et je fais des vas et viens avec, le laisse en place pour me branler ou le retire pour me doigter encore. A ce
moment-là ma bite n’est en général pas bien dure mais cela n’empêche pas le plaisir. En même temps je lèche et suce le gode goulûment comme si c’était une grosse bite, je
l’enfonce dans ma gorge et le recouvre de salive.
Lorsque mon trou de balle est prêt je recouvre cette bite factice d’une capote, l’enduit de gèle et je me l’enfonce doucement dans le cul. Je lui fais faire des vas et
viens en mois vigoureusement en étant sur le dos, à quatre pattes, accroupis ou à genoux en imaginant que je me fais baiser par une vraie queue. Parfois je pose
le gode ceinture face à moi pour le sucer comme si deux mecs me prenaient violement. D’autres fois je vais ôter le gode, le sucer alors qu’il sort de mon fion et le
remplacer par le gros plug.
J’ai parfois ce que je pense être des orgasmes anaux, une chaleur et un intense plaisir partant de mon anus et parcourant tout mon corps. Dans ces moments-là je ne pense
plus qu’au sexe et qu’à me faire baiser mon cul, à me faire violer par une grosse queue. Mon cul est telle la chatte d’une salope nymphomane en
chaleur qui a besoin de bites pour se satisfaire.
Lorsque je jouis en me branlant et m’enculant mon foutre gicle parfois jusque sur mon visage. Lorsque je suis excité je l’étale sur moi et lèche mes doigts et
lorsque je suis très excité je me cambre, bite vers le visage et jouis sur mon visage et dans ma bouche.
Voici le déroulement typique d’une de mes séances masturbatoires anales. Bien sûr je varie, j'en reparlerais.
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