A la fin de mon article d’hier sur ma presque découverte de l’urophilie j’ai terminé en parlant d’une expérience solitaire. Je m’en vais la conter de ce pas.

Hop, en l'air !

Alors que j’étais en train de lire un texte érotique contenant de l’urophilie et en regardant des photos en me branlant, mon envie d’essayer avec Mademoiselle (qui était déjà au courant de l’idée) s’est faite de plus en plus insistante. Du coup je me suis dit "Pourquoi ne pas essayer tout seul ? Pour savoir si ça me plait… ". Pour me donner envie d’uriner j’ai bu de l’eau tout en continuant mon activité en attendant que l’envie vienne.

J'aimerais beaucoup voir Mademoiselle faire ça aussi...

Cela n’a pas tardé, au bout d’un moment ma bite était devenue plus molle et une bonne envie d’uriner se faisait sentir. Très excité, je me suis rentré dans la douche et lorsque la pisse à commencer à jaillir de mon sexe je l’ai orienté vers mon torse et je me suis arrosé le torse et le ventre. C’était chaud et doux. Mon urine n’avait ni couleur ni odeur car sûrement composée d’eau (j’étais presque à jeun). Ma pisse ruisselait sur mon torse, mon ventre, mon sexe et mes cuisses. Je me suis ensuite branlé dans mon urine puis j'ai giclé et j’ai eu un sacré orgasme. Une fois cette expérience terminée je me sentais honteux et je me suis donc bien douché. Quelques heures plus tard je m’en suis remis et je n’avais hâte qu’a une chose : recommencer.

Sur le torse. Il a une tête de con par contre...

Et par la suite j’ai recommencé plusieurs fois, dès que l’envie m’en prenait. Si la première fois je n’avais pas goûté au liquide je n’y ai pas manqué les fois suivantes. Tout d’abord  j’ai seulement porté le jet à ma bouche, sans avaler. Puis une autre fois j’ai mieux goûté et avalé. Encore une autre fois j’ai pissé dans un verre, goûté et avalé une partie en laissant le reste couler sur moi.

Self service.

J’aime autant la sensation d’avoir ce liquide chaud ruisseler sur moi que l’excitation de braver un interdit. Maintenant je n’ai qu’une seule hâte : essayer avec Mademoiselle. J’aimerais d’abord la voir et me montrer uriner et ensuite passer aux choses sérieuses.

Note : Si les photos représentent essentiellement des femmes c’est simplement parce que j’ai eu beaucoup de mal à trouver des photos d’hommes s’urinant dessus me plaisant.

Premier article dans la catégorie "Culture sexe" pour parler d’une découverte faite pas plus tard que cet après-midi : les nose hook. Quoi qu’est-ce donc ? Littéralement "crochets de nez", il s’agit de crochets placés dans le nez et reliés à l’arrière un collier ou à un lien en passant par-dessus de la tête mettant ainsi le nez en arrière. Il s’agit d’une pratique de BDSM d’origine Japonaise. Japonais qui sont décidément à l'origine de pas mal de trucs bizarres...

J'adore leur air soumis et leur nez de cochonne.

Sans le pratiquer, je trouve le bondage attirant de par l’art et le fait d’immobiliser, surtout les dispositifs mis en place comme les cordages. Ces nose hook ajoutent à la soumission et provoquent une certaine déshumanisation du visage. Relevant ainsi le nez, il se rapproche plus d’un groin de cochon que d’un nez humain. Je ne trouve pas ça moche esthétiquement parlant et cela rajoute vraiment une certaine animalité. Je pense qu’associé à une laisse cela peut être un accessoire parfait pour faire d’une femme une parfaite chienne soumise.

Reste tout de même que cela doit faire sacrément mal et être plutôt désagréable selon la tension appliquée. Je ne suis pas tellement attiré par les pratiques de torture liées au BDSM, je préfère l’idée de domination plus douce sans vraie souffrance. Malgré tout je peux comprendre l'association de la douleur au plaisir. Néanmoins les nose hook m'interpellent pas mal.

Je n’ai pas trouvé beaucoup de renseignement sur les nose hook mit à part ce qui est déjà expliqué ici (le dispositif) et diverses photos. Quant à l’achat j’ai regardé par curiosité et je n’ai trouvé que des sites Japonais ou Américains ne livrant pas (à priori) la France. Si je trouve de nouveaux éléments un jour, j'en reparlerai.

Comme je l’ai écrit dans le précédent article concernant mon fantasme homosexuel, j’aime le plaisir anal. Je l’ai découvert grâce à Mademoiselle qui après sa première sodomie m’a proposé de me faire à son tour une feuille de rose et de me doigter le cul, peut-être pour me rendre la pareille ? En tout cas ce fut LA révélation et le départ de mon fantasme gay !

Peu après j’ai commencé à jouer avec mon anus lors de mes séances de masturbation. Au début je me doigtais puis j’ai commencé à utiliser un gode que Mademoiselle n’utilisait pas. J’ai par la suite acheté un ensemble de trois plugs et un chapelais thaïlandais plutôt magique. Bien sûr j’utilise aussi du lubrifiant à base d’eau et un préservatif sur le gode pour plus de confort.  

Les plugs petits et moyens sont géniaux pour préparer mon cul avant de recevoir le gode et le plus gros est parfait lorsque j’ai envie d’être bien dilaté. Lorsque je l’utilise mon trou est bien distendu et je peux presque me fister (entrer complètement la main), seule l’articulation de mon poignet m’en empêche.

Le chapelais thaï quant à lui rentre facilement sans dilatation et c’est surtout à la sortie que le plaisir se fait ressentir, lorsque les boules permettent à l’anus de se dilater puis de se resserrer alternativement.

Je possède aussi un gode ceinture mais nous ne en sommes que trop peu servit, bientôt j’espère !

Mes séances masturbatoires avec les sex toys ressemblent à peu près à ceci :

Nu sur mon lit, je commence par me caresser le corps et me branler puis, doucement, je glisse mes doigts vers mon anus puis m’enduit de lubrifiant et me doigte. Je m’enfonce un, deux, puis trois doigts pour me dilater et caresser ma prostate, ce qui me procure un plaisir divin. Mon sexe mouille, dégouline de liquide séminal que je m’empresse de goûter.

En général j’enchaine directement avec le plug de taille moyenne et je fais des vas et viens avec, le laisse en place pour me branler ou le retire pour me doigter encore. A ce moment-là ma bite n’est en général pas bien dure mais cela n’empêche pas le plaisir. En même temps je lèche et suce le gode goulûment comme si c’était une grosse bite, je l’enfonce dans ma gorge et le recouvre de salive.

Lorsque mon trou de balle est prêt je recouvre cette bite factice d’une capote, l’enduit de gèle et je me l’enfonce doucement dans le cul. Je lui fais faire des vas et viens en mois vigoureusement en étant sur le dos, à quatre pattes, accroupis ou à genoux en imaginant que je me fais baiser par une vraie queue. Parfois je pose le gode ceinture face à moi pour le sucer comme si deux mecs me prenaient violement. D’autres fois je vais ôter le gode, le sucer alors qu’il sort de mon fion et le remplacer par le gros plug.

J’ai parfois ce que je pense être des orgasmes anaux, une chaleur et un intense plaisir partant de mon anus et parcourant tout mon corps. Dans ces moments-là je ne pense plus qu’au sexe et qu’à me faire baiser mon cul, à me faire violer par une grosse queue. Mon cul est telle la chatte d’une salope nymphomane en chaleur qui a besoin de bites pour se satisfaire.

Lorsque je jouis en me branlant et m’enculant mon foutre gicle parfois jusque sur mon visage. Lorsque je suis excité je l’étale sur moi et lèche mes doigts et lorsque je suis très excité je me cambre, bite vers le visage et jouis sur mon visage et dans ma bouche.

Voici le déroulement typique d’une de mes séances masturbatoires anales. Bien sûr je varie, j'en reparlerais.